Bilan Santé en Biophotonique

La dimension prédictive de la biophotonique (Korotkov, 2018) permet de comprendre, grâce à l’analyse de notre Champ d’Énergie, que les perturbations sont d’abord d’ordre informationnel à l’échelle infra-cellulaire. Avec la description des différents stades de l’apparition de la maladie, nous comprenons que des effets peuvent être enregistrés dès les premiers stades avec cette technologie. 

Les biophotons sont des « impulsions cohérentes et harmoniques, qui sont stockées dans l'ADN et se propagent à la vitesse de la lumière, informant l'organisme auquel ils appartiennent de son état à chaque instant et des mécanismes homéostatiques qu'il doit mettre en œuvre pour rester en bonne santé ».  Par voie de conséquence, un « blocage énergétique » apparait « lorsque ce champ de biophotons devient désordonné et ne parvient pas à transmettre correctement les informations entre les différentes parties de l'organisme » (Korotkov et Mejia, 2007). Ceci correspond au 1er stade d’apparition de la maladie, qui est donc susceptible d’évoluer vers les autres stades si rien de change.

En permettant d’observer en temps réel les modifications du Champ d’Énergie de la personne la Caméra GDV Bio-well peut être utilisée comme un système informatique d’aide à la décision, véritable outil d’orientation étiologique différentielle en médecine environnementale car elle permet de mettre en évidence de manière très concrète une éventuelle composante d’intolérance aux champs électromagnétiques de manière fiable (même lorsque que cette hypothèse n’est pas au premier plan du motif de consultation), facilement et rapidement, avec visualisation (par le thérapeute et par la personne elle-même) de l’effet bénéfique autant qu’indispensable de la mise à la terre.

NB: le 1er stade d'apparaition de la maladie correspond à une atteinte au niveau quantique (dérégulation des échanges d'électrons et de photons au niveau des mitochondries) et le 2ème stade à une atteinte au niveau du biochamp (perturbation des flux bioélectriques produits par le fonctionnement des organes).

• Korotkov, K. (2018). L’énergie de la Santé. CreateSpace Independant Publishing Platform.
• Korotkov, K. et Mejia, C. (2007). El puente entre la ciencia y el alma LA BIOELECTROGRAFIA Una vision a la medicina del siglo XXI. (Un pont entre la science et l'âme, LA BIOELECTROGRAPHIE, Une vision pour la médecine du 21e siècle)

La mise en évidence rapide de la composante d’intolérance aux champs électromagnétiques permet vraiment aux personnes concernées de comprendre la nécessité pour elles de mettre concrètement en place des mesures de correction de leur environnement afin d’améliorer directement leur qualité de vie par l’atténuation, voire la disparition, de tout ou partie de leurs symptômes ou tout au moins d’éviter ou de limiter une aggravation de leur situation par surexposition aux sources environnementales de nuisances électromagnétiques, tant d’origine naturelle qu’artificielle. 

Dans les exemples ci-dessous, nous remarquons une nette différence de la luminescence entre 3 cas différents et 1 cas témoin.  Alors qu’elle est de répartition harmonieuse pour le cas témoin, nous constatons un aspect « agité » dans les autres cas, un peu comme l’aspect des flammes d’une plaque de cuisson au gaz lorsqu’il y a un dysfonctionnement, par exemple si le gicleur est bouché, si les trous du chapeau du brûleur sont obstrués ou humides, si l’arrivée d’air est mal réglée, si le détendeur fonctionne mal, … Cette analogie permet de comprendre d’emblée intuitivement qu’il y a un dysfonctionnement car il y a visuellement le constat d’une situation de stress de l’organisme, avec perte de l’adaptabilité, donc de l’homéostasie.