EHS et Biophotonique
Des symptômes chroniques « non spécifiques » sont en augmentation, dans un contexte de stress chronique qui s’intensifie. En médecine environnementales, les notions de susceptibilité individuelle et d’influence environnementale ne sont plus négligeables, tant du point de vue des micro-organismes, que de la pollution (de l’air, de l’eau, des aliments, …), que des nuisances d’origine artificielle (liées aux équipements électromagnétiques modernes, ainsi que sonores, visuelles, …), ainsi que des nuisances d’origine naturelle, … dont le « mélange » ou l’accumulation peut devenir « détonant ». Les facteurs environnementaux ont un impact variable. Certaines personnes éprouvent concrètement des ressentis désagréables, pas toujours explicables médicalement selon des critères académiques, mais qui influencent négativement leur qualité de Vie. Ces personnes ne sont pas vraiment malades (selon les critères de la médecine conventionnelle actuelle) mais pas vraiment en bonne santé non plus, au sens de la définition de l’OMS [1].
L’utilisation de la Caméra GDV Bio-well permet une évaluation intégrative et même prédictive de l'Etat de Santé d'un individu. Son inventeur, Konstatin Korotkov, décrit le corps comme « un système ouvert, échangeant en continu de la matière, de l’énergie et de l’information avec son environnement » et précise qu’il est établi que « il dépend aussi de nombreux types de champs invisibles d’origine naturelle ou artificielle ». Dans la même lignée, Florence Pousset décrit le Champ d’Énergie humain comme étant « un champ d’informations en perpétuel mouvement qui est sensible à notre environnement, l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les toxines avec lesquelles nous sommes en contact » et que « tout ce qui influence notre corps physique imprègne, notre champ d’énergie et inversement », ce qui correspond aux impacts de divers types de facteurs environnementaux.
Même si la médecine officielle en France n'intègre pas encore la notion de Champ d’Énergie, ni celle de rayonnement électro-photonique du corps humain, notre retour d’expérience en Biophotonique démontre l'importance non négligeable des situation méconnues d'intolérance aux champs électromagnétique ou " électro-hypersensibilité" (EHS) et l’importance de la mise à la terre de l’organisme humain.
Nous avons en effet constaté que
- Des situations médicales étaient davantage corrélées que d’autres à des antécédents d’infections provoquant une charge virale, parasitaire et/ou fungique importante.
- Des similitudes étaient très fréquentes entre les symptômes de sensibilité chimique multiple et/ou de syndrome infectieux multi systémique et/ou de fibromyalgie et/ou de syndrome de fatigue chronique et/ou de pathologies neurodégénératives et/ou de pathologies auto-immunes et/ou de candidose chronique et/ou de « burnout » et les symptômes décrits par les personnes présentant une intolérance aux champs électromagnétiques ou EHS (électro hyper sensibilité) selon les critères de l’OMS [3] (adoptés par l’ANSES [4] en mars 2018 dans son rapport d’expertise collective).
L’augmentation de la durée d’exposition et/ou du nombre de sources [5] et/ou du type de nuisances environnementales est devenue exponentielle et a pour conséquence logique d’augmenter le nombre d'individus susceptibles de présenter des symptômes d’intolérance aux champs électromagnétiques. Grigoriev, en 2018, parlait même de « chaos électromagnétique ». L’apparition de symptômes d’intolérance aux champs électromagnétiques peut aussi être influencée par des agents agresseurs et des facteurs environnementaux, qui augmentent la susceptibilité individuelle vis-à-vis des rayonnements non ionisants en abaissant le seuil de tolérance radiobiologique [6].
La dimension prédictive [7] de la biophotonique (Korotkov, 2018) permet de comprendre, grâce à l’analyse du Champ d’Énergie, que les perturbations sont d’abord d’ordre informationnel à l’échelle infra-cellulaire. Avec la description des 4 stades de l’apparition de la maladie, nous comprenons que des effets peuvent être enregistrés dès les premiers stades [8] avec cette technologie (cf. article Bilan de Santé en Biophotonique)
Ainsi, la Caméra GDV Bio-well est un outil à la fois pertinent, rapide et fiable pour la mise en évidence de perturbations de l’équilibre énergétique et donc en particulier la mise en évidence d'une composante d’intolérance aux champs électromagnétiques, même dans des situations non évocatrices d'emblée.
Dans les trois cas "EHS" (ElectroHyperSensibilité),
nous constatons un niveau de STRESS plus élevé
et un niveau EQUILIBRE plus bas que par rapport au cas témoin.
[1] En pratique clinique, les principaux outils d’orientation étiologique et d’évaluation sont l’anamnèse et le recueil le plus exhaustif possible des symptômes et de leur variabilité ou non en fonction du moment et du lieu, avec une synthèse des conditions de survenue et d’évolution, en précisant les mesures déjà entreprises et leurs effets avec les antécédents médico-chirurgicaux, l’environnement psychosocial et un historique environnemental (lieu de vie, lieu de travail, …).
[2] La géoécologie intègre l'étude de l’influence des ondes électromagnétiques naturelles et artificielles sur le vivant (humains, animaux, végétaux et micro-organismes), ainsi que la mise en œuvre sur le terrain de méthodes d’amélioration du milieu (rétablissement de l’équilibre de l’environnement). Selon Wikipédia (septembre 2021), « la géoécologie est une science de la terre qui se situe entre la géographie physique, la géologie et la biologie », « le terme "geoökologie" est employé seulement en Allemagne et en Russie ».
[3] Trois critères ont été retenus pour caractériser l’Intolérance Environnementale Idiopathique (c’est-à-dire sans cause spécifique reconnue) aux Champs Électromagnétiques (IEI-CEM) », également appelée EHS, à savoir :
- « La perception par les sujets de symptômes fonctionnels divers non spécifiques (troubles du sommeil, maux de tête, symptômes cutanés, etc.) »
- « L’absence d’évidences clinique et biologique permettant d’expliquer ces symptômes »
- « L’attribution, par les sujets eux-mêmes, de ces symptômes à une exposition à des champs électromagnétiques, eux-mêmes diversifiés ».
[4] Créée le 1er juillet 2010, l'ANSES ou Agence Nationale de SEcurité Sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail est une instance scientifique indépendante qui exerce des missions d'évaluation des risques, de référence et de recherche dans les domaines de la santé humaine, animale et végétale.
[5] Il s’agit en particulier dans la période actuelle de l’augmentation du nombre d’appareils dits « communicants » ou « intelligents » et du nombre d’objets dits « connectés ». L’immersion dans ce « brouillard électromagnétique » ambiant moderne, de plus en plus dense (y compris pendant les phases de repos et de sommeil, qui ne sont alors plus réparatrices) provoque des ressentis d’agression quasi-permanents pour notre système nerveux autonome (SNA).
[6] Cf. paragraphe 3.1 RETOUR D’EXPERIENCE ET TRAVAUX DE RECHERCHE
[7] C’est-à-dire la probabilité de survenue et d’installation de problèmes de santé si rien ne change par rapport à la situation du moment
[8] Le 1er stade correspond à une atteinte au niveau quantique (dérégulation des échanges d'électrons et de photons au niveau des mitochondries) et le 2ème stade à une atteinte au niveau du biochamp (perturbation des flux bioélectriques produits par le fonctionnement des organes).