" Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses " (!?)
- Le 18/01/2021
- Dans Vaccination anti-Covid-19
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" il existe d’innombrables manières de truquer une étude, c’est d’ailleurs un des avantages (pour les intérêts crapuleux) de ce qu’on appelle l’Evidence-Based Medicine. Nous ne les rappellerons pas ici, ayant donné ailleurs des références de choix pour ceux que cela intéresse.
Toutefois, la plus évidente (signalant un bidouillage) est de violer en cours de route le protocole d’étude. Ici, le problème est gros et évident."
Le protocole de recherche original prévoyait en effet une évaluation de l’efficacité (primaire et secondaire) du vaccin en comparant le groupe vacciné au groupe « placebo » avec le cadre temporel suivant : seconde injection 21 jours après la première, puis données récoltées à partir du 7ème jour suivant cette seconde injection. Ceci pour une raison: l’immunité requiert à notre connaissance un délai de quelques semaines pour advenir. "
Dans la suite de l'article, concernant l'étude de Pfizer sur l'efficacité de son vaccin, Jean-Dominique Michel, reprend:
- les indicateurs retenus pour être évalués dans le protocole et les résultats publiés, mettant en évidence que le protocole d'évaluation utilisé est différent de celui annoncé ... !
- des données du CDC (Centre de contrôle des maladies aux Etats-Unis) concernant la sécurité du vaccin avec " un taux de 2.8% d’effets adverses autres que légers (critères : les vaccinés ne sont plus en état de travailler), ce qui est significativement plus élevé que pour des vaccins comme celui contre la grippe ! "
- des données de la FDA concernant l'efficacé moindre que ce qui a été annoncé par Pfizer (davantage de cas suspects de Covid-19 en post vaccination que ce qui a été mentionné dans la publication des résultats).
- etc.
" La vaccination risque très clairement de provoquer chez certains sujets une sur-réaction immunitaire conduisant à cette fameuse « tempête de cytokines » aux effets dévastateurs. C’est entre autres la position de la Dresse Dolorès Cahill, experte auprès de nombreuses agences de santé et généticienne moléculaire à l’Université de Dublin, qui a prédit de manière très controversée une flambée de mortalité et d’hospitalisations suivant de quelques semaines ou de quelques mois la vaccination. Il se pourrait (mais là aussi il convient d’être prudent) que nous soyons en train d’observer un phénomène de cet ordre dans les pays qui font la « course en tête » avec le vaccin génique. "