Les nanoparticules lipidiques des "vaccins" géniques à ARNm sont-elles sûres ?
- Le 04/08/2021
- Dans Vaccination anti-Covid-19
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Sans ces enveloppes lipidiques, il n'y aurait pas de vaccins ARNm pour COVID-19 (mars 2021)
Extraits
" Les fragiles molécules d'ARNm utilisées dans les vaccins COVID-19 ne peuvent pas pénétrer dans les cellules par elles-mêmes. Elles doivent leur succès à des nanoparticules lipidiques qu'il a fallu des décennies à perfectionner. "
" BioNTech, fondée en 2008, et Moderna, fondée en 2010, promettaient de pouvoir utiliser l'ARNm pour produire n'importe quelle protéine dans le corps, que ce soit en tant que thérapie ou en tant que vaccin. "
" Mais les détails sur la façon dont Moderna est parvenu à sa formulation optimale sont rares. La société n'a pas accordé d'interview pour parler du développement de sa nanoparticule, pas plus que Pfizer ou BioNTech. Pour son vaccin COVID-19, Moderna a finalement utilisé un lipide ionisable qu'elle appelle SM-102, qu'elle a décrit pour la première fois dans une étude de 2018 sur les alternatives au MC3. Pfizer et BioNTech ont obtenu sous licence un lipide ionisable appelé ALC-0315 auprès d’Acuitas. "
" Ces lipides ionisables, dont la structure est remarquablement similaire, ont été découverts alors que les entreprises optimisaient les LNP pour l'administration systémique et l'acheminement vers le foie - et non pour l'injection intramusculaire d'un vaccin. Les experts soulignent que l'optimisation des nanoparticules pour la vaccination pourrait conduire à des injections nécessitant des doses plus faibles, ce qui pourrait alléger la charge de fabrication en cas de pandémie. Le développement de nouveaux lipides et de nouvelles formulations de nanoparticules prendra probablement trop de temps pour faire la différence pendant cette pandémie, mais Moderna, BioNTech et d'autres continuent à chercher de meilleures façons de faire pénétrer l'ARNm dans les cellules pour toute une série d'applications. "
Article en anglais => https://cen.acs.org/pharmaceuticals/drug-delivery/Without-lipid-shells-mRNA-vaccines/99/i8
Des conséquences involontaires des injections anti-COVID à ARNm sont-elles possibles ?
Ceci pourrait éventuellement être dû au fait que les nanoparticules lipidiques contenant l'ARNm se diffusent en partie dans l'organisme au lieu de rester dans les cellules musculaires dans lesquelles elles ont été injectées?
" Les vaccins actuellement commercialisés consistent à injecter des acides nucléiques qui vont faire synthétiser la « spike », protéine membranaire (de surface) du virus, par le vacciné. Les vaccins à ARNm sont développés depuis plusieurs années par le NIAID (Institut US des maladies infectieuses) et Moderna; en 2019 ce développement a été ciblé sur les coronavirus et les protéines de membranes virales. Les fabricants des vaccins mis sur le marché ont contourné les obstacles dus à cette nouvelle technologie en modifiant par divers procédés le matériel génétique de la spike du virus de la Covid-19. Ces modifications pourraient la rendre plus dangereuse que la spike du virus de la Covid-19. En effet, la spike (S) du virus SARS-CoV-2 est en partie responsable de certaines pathologies engendrées par la Covid-19. Les nanoparticules vectrices ont également une toxicité propre. Les études succinctes de bio-distribution des vaccins qui ont été rendues publiques récemment inquiètent les spécialistes car les nanoparticules vectrices et la spike synthétisée à partir de celles-ci se répandent dans tout l’organisme contrairement à leurs attentes. Des questions souvent posées les jours derniers seront aussi abordées : Les vaccinés peuvent-ils excréter le vaccin ? Don du sang et vaccinés. Enfin sont abordés la neurotoxicité de la spike et son passage de la barrière hémato-encéphalique (du sang vers le cerveau) qui sont maintenant bien établis. "