Polémiques sur le traitement de la Covid-19
- Le 20/12/2020
- Dans Les impacts de la Covid-19 au-delà du sanitaire
Avec les témoignages de professionnels de santé exposés en 1ère ligne et autres, qui dénoncent la pensée unique => des consignes gouvernementales au traitement allopathique non conventionnel avec en particulier d'Azithromycine avec également un anticoagulant et du Zinc (sans hydroxychloroquine) ... à l'hydroxychloroquine ... la vitamine D ... huiles essentielles ...
=> https://maltraites-ledoc.com/
=> https://www.maltraites-ledoc.com/video
Film documentaire "Mal traités" - décembre 2020
Rappel de scandales pharmaceutiques antérieurs (Vioxx, Médiator, Tamiflu) aux opportunités de nouveaux projets commerciaux dans le contexte de la Covid-19.
Les contestations systématiques contre l'hydroxychloroquine et la controverse démesurée en France (contrairement à d'autres pays dont l'Italie, la Grèce, le Maroc) qui aboutit à l'interdiction de l'hydroxychloroquine, sans réunion de commission, ni vote ni déclaration de conflit d'intérêt mais aboutissant à un décret.
Le conseil fait aux malades de ne pas aller voir leur médecin généraliste.
L'alerte contre les effets dangereux de l'hydroxychloroquine pourtant d'excellente réputation auparavant, figutant sur la liste des médicaments assentiels de l'OMS, donnée depuis toujours à des personnes fragiles (enfants, femmes enceintes et personnes âgées) et qui était en vente libre (depuis 2009) jusqu'en janvier 2020 (!). Les problèmes cardiaques mis en avant étaient en fait liés à la Covid-19 elle-même.
Le scandale du Lancet de mai 2020 (étude frauduleuse et rétraction de l'article), mais n'empêchant pas une décision précipitée du ministre de la santé français.
Le scandale franco-français de l'étude Discovery (protocole européen) qui mettait en évidence une diminution de mortalité et de sévérité des symptômes pour les patients du groupe ayant reçu l'hydroxychloroquine par rapport à celui ayant reçu un placebo mais l'étude a été arrêtée au lieu de recruter d'autres patients afin de confirmer les résultats. L'étude Hycovid du CHU de Angers a aussi été arrêtée brutalement alors que les résultats initiaux étaient favorables à l'hydroxychloroquine et nécessitaient de la poursuivre ...
A la même période autre médicament, le Remdesivir de Gilead, n'a pas subit le même sort alors que les résultats préliminaires étaient défavorables .... une autorisation temporaire de mise sur le marché (ATU) est validée malgré la toxicité hépatique et rénale ... à usage exclusivement hospitalier, par voie injectable ... et très onéreux ... La CE en commandera 500 000 doses pour un milliard d'euros à l'automne 2020 alors que l'efficacité est remise en cause ... L'essai Solidarity de l'OMS concluera que le Remdesivir ne montre pas d'effet sur la mortalité et n'accélère pas la guérison des malades ... mais il sera distribué gratuitement et largement dans les hôpitaux.
Pendant ce temps une recommandation temporaire d'utilisation est refusée au Pr Raoult à l'IHU de Marseille or l'hydorxychloroquine administrée suffisamment tôt est efficace (mis en évidence par une méta-analyse sur 136 études) et que plusieurs pays l'on validée comme traitement contre la Covid-19 (Chine, Russie et Inde).
Les pays où la létalité de la Covid-19 est la plus forte sont les pays les plus riches et les plus forts sur le plan économique (dont la France) ... qui sont aussi ceux le plus sous influence de l'industrie pharmaceutique.
Gilead utiliserait des méthodes peu orthodoxes, dont des tentatives d'intimidation et beaucoup d'infectiologues français ont des liens avec Gilead (85%) avec des enjeux financiers immenses. Les actions de Gilead augmentent à chaque annonce nouvelle concernant le Remdesivir. Gilead entretient des liens d'intêret avec de nombreux experts (non déclarés), sans contre-pouvoir.
Pendant que l'Hydroxychloroquine était "diabolisée", d'autres médicaments efficaces contre la Covid-19 ont été ignorés, la plupart n'étant plus sous brevet (Colchicine, Ivermectine, Fluvoxamine) ... C'est comme s'il n'y avait pas de place dans notre système médical pour les molécules qui ne rapportent plus rien aux laboratoires. Ainsi, le modèle économique actuel laisse de côté les génériques, ainsi que les molécules telles que vitamines, minéraux, plantes médicinales, ... dont:
* la vitamine D (contributive tant en préventif qu'en curatif ... que l'Académie de Médecine en France a validé avec la publication d'un communiqué. NB: 40 % de la population mondiale serait carencée en vitamine D et 80 % de la population en France (!) dont les personnes les plus à risque de développer une forme grave de Covid-19)
* le Zinc (oligo-élément indispensable à la division des cellules donc à la cicatrisation et qui donne une meilleure défense contre les infections virales de par sa capacité à bloquer la réplication virale et même la pénétration du virus dans l'organisme. NB: l'hydroxychloroquine fait rentrer le Zinc dans les cellules, d'où l'intéret d'associer les 2. Le zinc a aussi un effet préventif, en particulier chez les personnes agées qui sont souvent carencées en Zinc)
* la vitamine C ou acide ascorbique (efficace en intraveineux en cas d'infection respiratoire, de septicémie, à forte dose, sans risque de surdosage car hydrosoluble, avec une action anti-oxydante)
La gravité n'est pas liée au virus mais au "terrain" et donc à la qualité du système immunitaire (impacté négativement par la peur et le stress) et aux co-morbidités. Le stress est à l'origine de carences en micro-nutriments par sur-consommation. L'activité physique et le grand air stimulent le système immunitaire. Le sucre est une catastrophe pour l'immunité, la peau, ... l'excès de sucre est un des plus grand facteur de mortalité, bien plus que les infections (une personne par seconde dans le monde). L'hygiène alimentaires est fondamentale, avec des produits "bruts" (non transformés).
Dans les études de médecine, on n'apprend pas la santé, uniquement le dignostic et le traitement des maladies. Il n'y a donc pas d'enseignement de la prévention santé. L'alimentation paraissant équilibré est le plus souvent elle-même insuffisante en prévention de défaillances. La micro-nutrition peut ré-équilibrer la situation grâce à des corrections personnalisées.
L'omerta s'exerce aussi sur les extraites de plantes et les principes actifs naturels (phytothérapie, médecine traditionnelle chinoise avec l'Artémisia qui a prouvé son efficacité aussi en Afrique, ainsi que la Srutellaria, ... en préventif (limitent l'infammation). Egalement l'aromathérapie avec l'huile essentielle de Ravintsara (puissant anti-viral et immunostimulant). Les huiles essentielles sont constituées de multiples molécules qui peuvent aider à lutter contre les antibiorésistance (en association avec l'antibiotique: l'huile essentielle venant ouvrir des portes dans les biofilms jouant le rôle de remparts pour les micro-organismes résistants). Les huiles essentielles ont différents mécanismes d'actions selon les classes de molécules: destruction de l'enveloppe du virus, destruction ADN ou ARN viral, empêcher l'adhésion du virus aux cellules et donc sa pénétration intracellulaire.
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Le point de vue contradictoire de Sciences et Avenir
18 déc 2020 => https://www.sciencesetavenir.fr/sante/covid-19-les-contre-verites-du-documentaire-mal-traites_150080
" un graphique réalisé par un de nos journalistes, spécifiquement pour notre site et illustrant un article accompagnateur a été utilisé sans notre accord " => https://www.sciencesetavenir.fr/sante/enquete-les-infectiologues-francais-sont-ils-trop-proches-de-gilead_145585